Dans Bastarda, il n’y a de place que pour une seule reine : l’iconique Elizabeth I d’Angleterre. Olivier Fredj recrée à Bruxelles la cour de la Reine Vierge. Dans cet entretien, il revient sur les choix narratifs de sa mise en scène.

Dans Bastarda, il n’y a de place que pour une seule reine : l’iconique Elizabeth I d’Angleterre. Olivier Fredj recrée à Bruxelles la cour de la Reine Vierge. Dans cet entretien, il revient sur les choix narratifs de sa mise en scène.
En guise de préparation à Bastarda, nous vous présentons les personnages historiques qui figurent dans le spectacle. À l’aide des portraits des chanteurs et des chanteuses réalisés à la Monnaie, d’une courte biographie et d’une introduction à leur rôle au sein de la production, familiarisez-vous avec les Tudor et les membres de leur cour.
Des dangers qui menacent son règne à sa fin inéluctable, en passant par l’exécution de Mary Stuart, l’évocation de ses favoris et du fantôme de sa mère… C’est une Elizabeth I plus âgée et plus dangereuse que nous retrouvons dans la seconde partie de Bastarda. Découvrez le synopsis du projet basé sur les « opéras Tudor » de Donizetti et les grands moments musicaux qui vous attendent.
La première partie de Bastarda se consacre à la jeune Elizabeth I, de son enfance, marquée par la mort tragique de sa mère, Anne Boleyn, à sa confrontation avec Mary Stuart, en passant par son couronnement… Découvrez le synopsis du projet basé sur les « opéras Tudor » de Donizetti et les grands moments musicaux qui vous attendent.
De l’immense miroir suspendu dans la cage d’escalier au plus petit miroir de maquillage dans les coulisses, la Monnaie regorge d’endroits où les artistes peuvent s’adonner à l’introspection. C’est l’exercice auquel se livre aujourd’hui la soprano Emma Posman, qui s’illustre en ce moment, vocalement et scéniquement, dans le rôle de Talus dans Solar.
«Time has run out, we were the ones to know. » C’est sur ces mots forts que s’achève Solar, un opéra sur les conséquences de l’orgueil humain et de l’exploitation néfaste de la nature. Dans cette vidéo, le compositeur Howard Moody et le metteur en scène Benoît De Leersnyder vous parlent du livret, inspiré notamment du tableau La Chute d’Icare de Bruegel, de la musique et, surtout, de la puissance qui émane de la jeune génération, représentée par les Chœurs d’enfants et de jeunes de la Monnaie.
Dans une production d’opéra, rien n’est laissé au hasard. Tout, absolument tout – chaque personnage, chaque mouvement, chaque note, chaque couleur, chaque détail – y est pensé. Les magnifiques costumes de Bastarda sont la preuve – si nécessaire – qu’un tel processus de création demande énormément de temps, de soin et de profonde attention. Un entretien avec la créatrice Petra Reinhardt et la cheffe du département des costumes Regine Becker.
La préparation de notre production Bastarda, centrée sur le personnage d’Elizabeth I, a coïncidé avec le regain d’attention dont fait l’objet la monarchie britannique, illustré par des séries comme The Crown, Wolf Hall ou encore The Tudors. Il y a quelques mois, le décès d’Elizabeth II a été accompagné de nombreuses rétrospectives médiatiques sur différents aspects de son règne. Nous vous proposons de mettre en perspective les liens visibles et invisibles qui unissent ces deux reines, à travers l’histoire comme dans la culture populaire.
Un an après la début de la guerre en Ukraine, la Monnaie maintient l’attention sur ce conflit tragique et impitoyable, et exprime sa solidarité aux innombrables victimes à travers différentes initiatives.
« Ça parle de rien et ça parle de tout. Ça parle de la vie et de la mort, de l’amour et de la hiérarchie sociale... » Notre production d’Eugène Onéguine marque la quatrième collaboration à la Monnaie entre Alain Altinoglu, un chef d’orchestre à la grande sensibilité théâtrale, et Laurent Pelly, un metteur en scène qui sait mettre la musique en valeur.
Avec le rôle d’Eugène Onéguine, antihéros charmeur et velléitaire du roman de Pouchkine, le baryton Stéphane Degout se lance de nouveaux défis.
En plus d’avoir composé des œuvres parmi les plus populaires de toute l’histoire de la musique, Tchaïkovski était un correspondant assidu. Ses écrits sur Eugène Onéguine dévoilent un artiste perfectionniste, en quête d’innovation lyrique, marqué par le tumulte de sa vie sentimentale…
Pour clore cette série, place aux histoires les plus émouvantes mais aussi les plus drôles ! Des traditions des premières aux blagues des dernières, en compagnie d’un serpent, d’un bourdon et de quelques crocodiles…
Sir John Pritchard, Sir Antonio Pappano, Kazushi Ono et bien sûr, Alain Altinoglu… voilà quelques-uns des grands noms qui ont marqué l’histoire de l’Orchestre symphonique de la Monnaie.