Partie 2 de notre série de vidéos sur les répétitions du Silence des ombres : Le travail de l’orchestre dirigé par Benjamin Attahir lui-même avec le caméo d’un instrument assez inhabituel…

Partie 2 de notre série de vidéos sur les répétitions du Silence des ombres : Le travail de l’orchestre dirigé par Benjamin Attahir lui-même avec le caméo d’un instrument assez inhabituel…
On prend tous les risques
Accompagnez Thomas Jolly dans les préparations de notre nouvelle production lyrique : Macbeth Underworld. L’artiste le plus en vogue du répertoire shakespearien made in France nous parle du projet, de sa collaboration avec Pascal Dusapin et de l’atmosphère qui règne à la Monnaie.
Si vous posez la question à Pascal Dusapin, il a « collationné tout ce qui a été filmé autour de Macbeth ». Rien d’étonnant, dès lors, si l’histoire du cinéma l’a abondamment inspiré pour sa nouvelle création mondiale, Macbeth Underworld . De Judi Dench à Orson Welles, avec un rôle de premier plan pour Roman Polanski.
Dans cette série de vidéos, vous aurez un aperçu du laboratoire lyrique de la Monnaie. Nous y préparons actuellement, entre autres, Le Silence des ombres, une nouvelle œuvre en trois parties du compositeur Benjmain Attahir d’après les Trois petits drames pour marionettes de Maurice Maeterlinck.
À l’occasion de la création mondiale de l’opéra Le Silence des ombres, le compositeur Benjamin Attahir a accepté de se livrer à un petit questionnaire « à la Proust ».
Du mystère, du suspense et une vérité insaisissable au-delà des mots ; l’œuvre du premier et à ce jour unique prix Nobel de Littérature belge Maurice Maeterlinck ne dévoile jamais tous ses secrets. C’est le cas de ses Trois petits drames pour marionnettes (1894), un triptyque théâtral particulièrement dense à la poésie troublante que la Monnaie ressuscite pour un nouvel opéra : Le Silence des ombres.
De Shakespeare à Judi Dench, de ses inspirations cinématographiques à ses chanteurs lyriques de prédilection, le compositeur Pascal Dusapin évoque la genèse de son nouvel opéra commandé par la Monnaie : Macbeth Underworld.
Nul conte de fées n’est juste qu’un conte de fées
Notre dramaturge Marie Mergeay vous propose une courte introduction au Conte du tsar Satlane. Elle vous guide en quatre petites minutes à travers le dernier opéra de notre saison. Au menu : une exploration de Tmoutarakan, de l’île de Bouiane, en passant par le cerveau en ébullition du créatif metteur en scène Dmitri Tcherniakov.
Il faut accompagner cette tempête au lieu de la combattre
S’attaquer à Tristan und Isolde de Richard Wagner est une épreuve pour tout metteur en scène d’opéra. Afin de transposer en images durables le flot de monologues et de dialogues de cette œuvre intemporelle, la Monnaie a fait appel à deux artistes visuels ambitieux. D’une part, le metteur en scène et cinéaste Ralf Pleger qui connaît bien le compositeur allemand dont il a réalisé un portrait intitulé Wagnerwahn (Public Award du World Film Festival 2013 de Montréal). D’autre part, le sculpteur et décorateur Alexander Polzin qui est en terrain connu à la Monnaie puisqu’il a créé les décors de notre dernière production d’Aida (Verdi) en 2017. Dans ce portait vidéo, les deux artistes nous expliquent leur approche.
Pour son dernier opéra de la saison, la Monnaie puise au trésor des récits populaires russes. Opéra d'une merveilleuse inventivité, Le Conte du tsar Saltane est l’œuvre du compositeur Rimski-Korsakov – on se souvient de son Coq d’or –, qui s'est à nouveau fondé ici sur un texte de son compatriote Alexandre Pouchkine. Dans cet article, vous pourrez découvrir en 5 petites minutes tout ce qu’il y a à savoir sur cette nouvelle production à un mois de la première.
Devenu un véritable tube à part entière, le « Vol du bourdon » est l’interlude musical concluant le premier tableau du troisième acte du « Conte du tsar Saltane ». Reconnaissable au rythme effréné de ses montées et descentes chromatiques presque ininterrompues, le morceau décrit comment le Prince Gvidon, changé en bourdon par la Princesse-Cygne, traverse la mer en volant à la rencontre de son père.
Voici un petit avant goût joué par l’Orchestre symphonique de la Monnaie sous la baguette de notre directeur musical Alain Altinoglu.
Un chef-d’oeuvre qui peut toucher tout le monde.
Notre directeur musical Alain Altinoglu décrit sa première rencontre avec Tristan und Isolde de Richard Wagner ainsi que l’influence historique majeure de ce tour de force musical de 4 heures.