Un violoncelliste et six Suites de Bach, chacune prise en charge par un seul danseur — accompagné parfois d’Anne Teresa De Keersmaeker en personne — tandis que la lumière du jour décroît lentement. « L’absolu contraire de Tomorrowland » : c’est avec ses mots que la chorégraphe redit sa foi inébranlable dans l’expérience artistique, sans exhausteur de goût.
