Pour clore cette série, place aux histoires les plus émouvantes mais aussi les plus drôles ! Des traditions des premières aux blagues des dernières, en compagnie d’un serpent, d’un bourdon et de quelques crocodiles…

Myrtò Papatanasiu est souffrante et ne pourra assurer les représentations de Bastarda prévues les 21 et 23 mars. Elle sera remplacée par Francesca Sassu dans le rôle d’Elisabetta.
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Sir John Pritchard, Sir Antonio Pappano, Kazushi Ono et bien sûr, Alain Altinoglu… voilà quelques-uns des grands noms qui ont marqué l’histoire de l’Orchestre symphonique de la Monnaie.
Cet épisode part à l’écoute des solos, traits d’orchestre et « tubes » préférés des musiciens et musiciennes de la Monnaie, en explorant aussi bien leurs souvenirs de productions passées que leurs rêves de pouvoir interpréter certaines œuvres un jour.
Ce deuxième épisode se propose de plonger au cœur de la fosse de la Monnaie, ce microcosme chargé d’histoire(s) : celle avec un grand H et celles des musiciens et de la régie d’orchestre. Car le son d’un orchestre, c’est non seulement l’œuvre du chef d’orchestre et de ses musiciens, mais c’est aussi le fruit de tout un travail de préparation en amont.
Cet épisode nous emmène à la découverte des sons de la flûte, du violon, du violoncelle, de la contrebasse, des timbales, de la clarinette, de la trompette et du tuba, mais aussi de l’histoire de nos musiciens avec leurs propres instruments : des histoires de familles, des coups de foudre ou des hasards heureux.
Cette saison, dans le deuxième épisode de Résonances, dédié au dernier opéra de Philippe Boesmans, On purge bébé !, le psychopédagogue et auteur belge Bruno Humbeeck nous parle du concept d’hyper-parentalité. Au centre de cet épisode , comme au centre de l’opéra : le bébé, l’enfant, sa place au sein du couple et de la famille…. et en particulier la famille bourgeoise.
Nous ouvrons la troisième saison de la série de podcasts Résonances avec un épisode consacré à La Dame de pique. Nous avons rencontré le sociologue Aymeric Brody à l’asbl Le Pélican (service actif en matière de toxicomanies) pour y aborder la question de l’addiction aux jeux d’argent.
De 1963 jusqu’à aujourd’hui, plusieurs directeurs se succèdent et marquent la Monnaie de leur empreinte. Maurice Huisman, Gerard Mortier, Bernard Foccroulle puis Peter de Caluwe nomment, au cours de leurs mandats, des directeurs musicaux qui tantôt inspirent, tantôt stimulent l’orchestre, lui insufflant toujours de nouvelles sonorités.
Écoutez notre podcast dédié aux 250 ans de l’Orchestre symphonique de la Monnaie. Épisode 4 : Les deux guerres mondiales affectent profondément la Monnaie. Un homme tient la barre pendant ces années de défi : Maurice Corneil de Thoran, surnommé « le gentilhomme au pupitre ». Côté répertoire, les œuvres de Wagner, trop associées à l’envahisseur, sont écartées. C’est désormais la musique de Puccini, Stravinsky, Berg ou encore Milhaud qui résonne dans la fosse d’orchestre. Les difficultés financières et les luttes sociales qui marquent cette période n’empêchent pas la Monnaie et ses musiciens de proposer au public de surprenantes et ambitieuses créations.
Dès la création bruxelloise de Lohengrin, en 1870, la musique de Wagner attise toutes les passions. Il y a les pro- et les antiwagnériens. À la Monnaie, on est décidemment « pour ». Dans la seule saison 1897, quarante-deux représentations d’opéras wagnériens sont proposées, soit une représentation sur cinq ! Avec Wagner et ses disciples, l’Orchestre de la Monnaie s’agrandit encore. L’heure est au gigantisme.
Le grand opéra à la française fait son apparition sur notre scène, avec pour conséquence la nécessité d’avoir un orchestre de plus en plus grand dans la fosse : en 40 ans, il passe de 56 à 80 musiciens ! Le 25 août 1830, la représentation de La Muette de Portici d’Auber, dont le thème touche au patriotisme et à la liberté, incite l’insurrection contre les troupes hollandaises qui mènera à la Révolution belge quelques semaines plus tard.
Dès sa fondation en 1772, l'orchestre se forge une excellente réputation grâce à Ignace Vitzthumb, chef d’orchestre et directeur de la Monnaie. En cette fin de siècle, la Monnaie donne un spectacle presque tous les soirs. Les musiciens polyvalents enchaînent les bals de cour, les mascarades, les ballets et les concerts et, bien évidemment, les opéras !