Familière de la scène de la Monnaie, Silvia Tro Santafé nous offre cette fois un récital, avec son accompagnateur fétiche, Julian Reynolds, dans un programme entièrement dédié aux mélodies espagnoles.
MMM Online
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Récital
La musique espagnole est une musique puissante et passionnée.
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Opéra
Laurent Pelly à la Monnaie
Un portrait vidéo
Le metteur en scène français Laurent Pelly s'est fait connaître internationalement pour son regard onirique sur les comédies douces-amères du répertoire lyrique. À la Monnaie, on lui doit plusieurs productions très appréciées du public : Don Quichotte (2010), Cendrillon (2011), Le Coq d'or (2016) et Don Pasquale (2018). C'est avec Falstaff, l'ultime chef d’œuvre de Verdi, qu'il revient sur notre scène en décembre 2020 pour une nouvel opéra de fin d'année. Dans ce mini documentaire, Laurent Pelly revient sur ses précédentes mises en scène à la Monnaie.
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Danse
Une conversation avec Cynthia Loemij et Frank Vercruyssen
Quartett, créé en 1999, est le fruit d’une collaboration entre deux membres de la compagnie de danse Rosas, Anne Teresa De Keersmaeker et Cynthia Loemij, et deux membres du collectif théâtral TG Stan, Jolente De Keersmaeker et Frank Vercruyssen.
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Récital
Anna Caterina Antonacci, tragédienne de talent
Invitée régulière de la Monnaie, la soprano Anna Caterina Antonacci nous revient avec son pianiste attitré, Donald Sulzen, et le quatuor à cordes de notre maison.
Elle propose un voyage musical à travers les musiques italienne et française du XIXe siècle et du début du XXe siècle. -
Opéra
l’économie des moyens pour raconter une histoire qui va droit au but
Metteur en scène Laurent Pelly sur ‘Don Pasquale’
Le metteur en scène Laurent Pelly est de retour à la Monnaie ce mois de décembre avec Don Pasquale. Nous avons pu l’interviewer à la fin de l’été, quelques jours avant son départ pour Philadelphie où il présentait, en septembre, une nouvelle production de Lucia di Lammermoor. Une conversation consacrée à Donizetti « comédie » et Donizetti « drame ».
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Opéra
Focus dramaturgie
« Don Pasquale »
« Don Pasquale » est l’opéra idéal pour célébrer la fin de l’année 2018. Notre dramaturge Marie Mergeay vous en convaincra en deux minutes.
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Opéra
Janáček avait à l’esprit un concept d’opéra très novateur.
Michael Boder dirige ‘De la maison des morts’
Un être humain raisonnable préfère ne pas croiser les personnages de l’opéra De la Maison des morts seul dans la rue. Néanmoins, la musique intense, fragile, puissante et humoristique de Janáček parvient à faire rayonner une lumière même des recoins les plus sombres de l’humanité. Le chef d’orchestre Michael Boder explique ce qui rend le dernier opéra de Janáček si particulier.
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Opéra
Nous, on veut chanter !
Stefano Poletto dirige des ateliers de chant choral dans trois prisons belges
Depuis dix ans, le chef de chœur de notre programme social « Un pont entre deux mondes » fait jaillir de brillantes étincelles auprès de détenus dans différentes prisons belges, en les faisant chanter. C’est essentiel. Entretien avec un accélérateur de particules musicales.
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Opéra
Qui est qui ?
Cinq personnages-clés dans « De la maison des morts » de Leoš Janáček
Dans sa dernière œuvre majeure, Janáček fait résolument fi des règles de base du théâtre : De la maison des morts est un opéra sans héros.
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Opéra
Focus dramaturgie
« De la maison des morts »
Reinder Pols, dramaturge à la Monnaie, détaille les qualités singulières qui font de De la maison des morts de Leoš Janáček un opéra unique entre tradition et nouveauté.
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Danse
L’heure de vérité
Anne Teresa De Keersmaeker transmet « Fase » à une nouvelle génération
1982 : une jeune chorégraphe de vingt-et-un ans faisait une fracassante apparition sur la scène internationale avec « Fase, Four Movements to the Music of Steve Reich ». Anne Teresa De Keersmaeker – c’était elle – a persévéré durant près de trente-six ans à assurer elle-même l’interprétation de la pièce. Le moment est aujourd’hui venu de la transmettre aux « Rosas » d’une nouvelle génération.
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Récital
De courts lieder tels de vrais mini-drames…
Juste avant l’hiver, profitons encore des derniers parfums de l’été avec ce « livre de chansons italiennes ».
Les quarante-six lieder en forme de vignettes pour voix et piano qui forment l’ « Italienisches Liederbuch » offrent une large gamme d’émotions, dont le ton varie d’un air à l’autre : tantôt badin et railleur, tantôt désespéré, passionné ou intimiste, tantôt soupirant et provoquant… Ils ont été publiés en deux parties, mais Hugo Wolf n’a imposé aucun ordre de succession à ou aux interprète(s). Cependant ce « livre de mélodies » privilégie l’interprétation de deux chanteurs en alternance qui, selon le ton qu’ils adoptent, créeront une entité dramatique.
Dans ce récital accompagné au piano par Christoph Berner, Anke Vondung et Werner Güra combinent les lieder à leur manière, créant ainsi leur propre histoire, menant une conversation vivante entre une femme et un homme.